C’est un vrai fléau pour les villes et pourtant ces taggeurs-graffeurs sont parfois artistes et de plus en plus considérés par la société artistique. Des noms deviennent même connus du public.
Chacun de ces actes d’incivisme génère, de manière quasi automatique, un réflexe d’auto-alimentation : un tag ou un graffiti en appelant un autre. Il est donc nécessaire d’enrayer ce phénomène qui conduit à une dégradation de nos rues et quartiers et génère ce faisant, une perturbation majeure de l’ordre public par la pollution visuelle, la nuisance environnementale et l’atteinte aux droits des tiers.
Mais le phénomène touche également nos villages, vendredi après-midi des individus ont profité de la pause thermos-cigarette du chauffeur du TEC de la ligne 29 Namur-Luxembourg pour recouvrir son bus et le mur voisin de graffitis. Le chauffeur Didier MR (1) n’a rien vu ni entendu, la rapidité d’action étant une caractéristique de ces individus qui opèrent de plus en plus souvent en pleine journée.
Plainte a été déposée par le TEC. Les auteurs de tags et de graffitis restent la plupart du temps impunis car il est difficile de les arrêter. Les contrevenants s’exposent à des sanctions, le plus souvent le paiement du nettoyage et une peine de travail.
La Dernière Meuse TM (2)
(1) (2) Noms d’emprunts de proximité
Ecrit avec quelques copiés/collés de proximité trouvés sur internet
Adam Jeppesen – Sōzō
4 hours ago