ET LE SENTIMENT D'INSECURITE, BORDEL ?

UN ACCOMPAGNATEUR DE TRAIN M'ECRIT …

Je ne sais si vous connaissez des graffeurs et je ne veux pas le savoir, mais ce qui vous rendrait plus "tolérés" par le personnel et les voyageurs ce serait :

1. de ne pas graffer entièrement les fenêtres parce que les voyageurs ne voient plus la gare d’arrivée et il fait plus sombre à l'intérieur d’où un sentiment d’insécurité.

2. de laisser les chiffres sur les trains, nous en avons besoin c’est une question de sécurité notamment en cas de problèmes techniques. Je veux parler des gros chiffres du numéro du train. J’ai vu un graffiti qui jouait avec ce numéro en le démultipliant et en l’entourant sans l’effacer. Ce graffiti a d’ailleurs été effacé plus tard que d’habitude. Je veux aussi parler des plus petits numéros avec différents symboles (tonnages, …).

A part cela je dois vous dire : "C’est pas bien", mais vous le savez déjà ! Alors je vous demande seulement de tenir compte de mes remarques 😉 ; les derniers graffs immondes de PSK du genre "Je retourne un pot de peinture argentée sur le train", nous ont particulièrement énervés 😉 !

Bruxelles poursuit sa lutte contre les auteurs de graffitis

... « Bruxelles ne peut plus être considérée comme une destination où les graffeurs peuvent s’en donner à cœur joie en toute impunité. La lutte contre les graffitis est un volet primordial de ma politique de propreté publique. Nous nous sommes donné les moyens de réduire l’impunité et aujourd’hui, grâce à l’appui continu de la Police, nous engrangeons des résultats concrets », a commenté Karine Lalieux, l’Echevine en charge de la Propreté Publique de la Ville de Bruxelles ... (03 fev 12 - www.bruxelles.be pdf file)

Lutte anti-tags à Dax

A lire dans le journal SudOuest un article sur la lutte anti-tags de la mairie de Dax (France). Aucune tentative d'explication du phénomène tags ni d'interview de graffeurs, par contre les poncifs habituels sont au rendez-vous (guerre anti-tags, insécurité, ...).