Somey était au Kaai l'autre dimanche pour liquider quelques vieilles bombes. L'occasion d'oublier ses couleurs favorites et se livrer à de nouvelles expérimentations. Sa première pièce terminée, il m'invite à la regarder "en négatif" pour y retrouver ses couleurs habituelles.
Depuis notre dernière rencontre quelque chose a changé dans ses compositions, les ombres et reliefs des lettrages sont maintenant composés de strates de flèches et de formes rendant ses lettres légères et ondoyantes.
Une constante chez Somey, l’emploi d’une ou deux couleurs qui détonnent avec l’ensemble du graff. Mais le plus impressionnant chez lui reste la fluidité déconcertante de son tracé initial, l'amplitude de ses mouvements et l'entrechoquement de la bombe et du support.
Une constante chez Somey, l’emploi d’une ou deux couleurs qui détonnent avec l’ensemble du graff. Mais le plus impressionnant chez lui reste la fluidité déconcertante de son tracé initial, l'amplitude de ses mouvements et l'entrechoquement de la bombe et du support.
