Après s’être exposé au public du 1er au 17 juillet aux Abattoirs de Bomel à Namur, Thierry Robrechts y propose le résultat de ses travaux et rencontres du 20 juillet au 28 août 2020.
Reconnu par la rue depuis de nombreuses années, Thierry Robrechts a accepté … à ses conditions de prendre résidence d’été dans l’institution culturelle namuroise. Il n’est pas venu seul, avec lui c’est la vie qui entre dans cet espace austère. A commencer par les enfants des voisins suivis des parents qui franchissent la porte du centre culturel parfois pour la première fois. Et puis on peut toucher les sculptures ou dessiner sur les murs, et lorsqu‘une petite fille piétine une toile posée à même le sol l’artiste ne s’en émeut point.
Sous le nom générique d’ATROPHIE, Thierry Robrechts présente sa résidence comme, et je le cite : « une tentative d’exploration de zones intimes, refoulées ou inconnues. Un travail vers le contentement personnel hors de l’exigence réductrice du résultat, le soi hors de jugement mais dans le respect. L’écriture mythologique d’un royaume oublié. Une vulnérabilité éclose. L’oiseau sur la branche. ».
Et l’exposition qui débute le 20 juillet ? Des lignes, des mots, des dessins, des peintures et des sculptures pour restituer ces 13 jours de vie.
Reconnu par la rue depuis de nombreuses années, Thierry Robrechts a accepté … à ses conditions de prendre résidence d’été dans l’institution culturelle namuroise. Il n’est pas venu seul, avec lui c’est la vie qui entre dans cet espace austère. A commencer par les enfants des voisins suivis des parents qui franchissent la porte du centre culturel parfois pour la première fois. Et puis on peut toucher les sculptures ou dessiner sur les murs, et lorsqu‘une petite fille piétine une toile posée à même le sol l’artiste ne s’en émeut point.
Sous le nom générique d’ATROPHIE, Thierry Robrechts présente sa résidence comme, et je le cite : « une tentative d’exploration de zones intimes, refoulées ou inconnues. Un travail vers le contentement personnel hors de l’exigence réductrice du résultat, le soi hors de jugement mais dans le respect. L’écriture mythologique d’un royaume oublié. Une vulnérabilité éclose. L’oiseau sur la branche. ».
Et l’exposition qui débute le 20 juillet ? Des lignes, des mots, des dessins, des peintures et des sculptures pour restituer ces 13 jours de vie.
