C’était au siècle dernier au temps où l’on repeignait encore sa maison ; la peinture murale s’éteignait doucement, le punk déferlait dans nos campagnes et le graff arrivait à Bruxelles.
C’est cette histoire que Michel Huisman raconte, la vague punk exceptée, sous la forme d’un état des lieux des murs bruxellois de la fin des années 1970 dans son livre « Bruxelles à mur ouvert ». Un livre d’une grande valeur historique pour les amoureux de la peinture murale et du graff ; un livre sauvé du naufrage par un bibliothécaire naufragé du siècle dernier égaré au 21ème siècle.
Bruxelles à mur ouvert de Michel Huisman, avec des nouvelles de Jacques Crickillon et une mise en contexte par Philippe Lefebvre et Pierre Sterckx.
Nouvelles éditions Vokaer, 1980 172 pages.
C’est cette histoire que Michel Huisman raconte, la vague punk exceptée, sous la forme d’un état des lieux des murs bruxellois de la fin des années 1970 dans son livre « Bruxelles à mur ouvert ». Un livre d’une grande valeur historique pour les amoureux de la peinture murale et du graff ; un livre sauvé du naufrage par un bibliothécaire naufragé du siècle dernier égaré au 21ème siècle.
Bruxelles à mur ouvert de Michel Huisman, avec des nouvelles de Jacques Crickillon et une mise en contexte par Philippe Lefebvre et Pierre Sterckx.
Nouvelles éditions Vokaer, 1980 172 pages.