Dans le Bohemians Vol. 7, à la question « à quoi faut-il s’attendre pour 2020 ? », bART répondait : « à du street-art » …
En attendant l’année prochaine pour le vérifier, quelques commentaires totalement subjectifs de mes coups de cœur de l’année 2019 à travers le prisme du Vizion Issue 4. Force est de constater qu’il contient de biens belles choses et pour tous les gouts.
Sous l’impulsion du Pshitt Festival, Namur a repris des couleurs … Et des murs. Cela se reflète dans le Vizion qui compte de nombreux Namurois cette année.
J’ai toujours eu un faible pour les throw-ups des pages 189 et suivantes, avec une question : pourquoi en voit-on si peu sur nos trains ? J’y trouve de la légèreté, des rondeurs et une pureté des lignes souvent absentes des graffs plus lourds et carrés.
Oui bon, bART a raison page 194 …
Les pages consacrées à Canser confirment tout son talent déjà présent dans sa minuscule mais lumineuse exposition 2019. Ses tags souvent déposés à même le sol explosent à la figure du regardeur. Cela dit, il me faudra bien le restant de l’année pour déchiffrer ses 20 dédicaces page 206.
Ensuite l’odyssée vélocipédik de Thyl l’Espiègle qui, tel l’Ulysse d’Homère, a parcouru plus de 3000 km jusqu’au Maroc pour y organiser un festival. En attendant peut-être la publication de l’intégrale de ses carnets de voyage ?
Enfin les trains. Content d’y retrouver les Agroe, Akse, Ceys, et compagnie. Un spécial PSK ferait bonne figure l’année prochaine. Et puis le « Please, I can’t breathe » de Seyar me semble incontournable en couverture des prochains Vizion et Bohemians avec l’épisode Léopold II pour marquer le grand retour du graffiti politique en Belgique.
Plus de doute, bART a tort !
En attendant l’année prochaine pour le vérifier, quelques commentaires totalement subjectifs de mes coups de cœur de l’année 2019 à travers le prisme du Vizion Issue 4. Force est de constater qu’il contient de biens belles choses et pour tous les gouts.
Sous l’impulsion du Pshitt Festival, Namur a repris des couleurs … Et des murs. Cela se reflète dans le Vizion qui compte de nombreux Namurois cette année.
J’ai toujours eu un faible pour les throw-ups des pages 189 et suivantes, avec une question : pourquoi en voit-on si peu sur nos trains ? J’y trouve de la légèreté, des rondeurs et une pureté des lignes souvent absentes des graffs plus lourds et carrés.
Oui bon, bART a raison page 194 …
Les pages consacrées à Canser confirment tout son talent déjà présent dans sa minuscule mais lumineuse exposition 2019. Ses tags souvent déposés à même le sol explosent à la figure du regardeur. Cela dit, il me faudra bien le restant de l’année pour déchiffrer ses 20 dédicaces page 206.
Ensuite l’odyssée vélocipédik de Thyl l’Espiègle qui, tel l’Ulysse d’Homère, a parcouru plus de 3000 km jusqu’au Maroc pour y organiser un festival. En attendant peut-être la publication de l’intégrale de ses carnets de voyage ?
Enfin les trains. Content d’y retrouver les Agroe, Akse, Ceys, et compagnie. Un spécial PSK ferait bonne figure l’année prochaine. Et puis le « Please, I can’t breathe » de Seyar me semble incontournable en couverture des prochains Vizion et Bohemians avec l’épisode Léopold II pour marquer le grand retour du graffiti politique en Belgique.
Plus de doute, bART a tort !